Les gâteaux Koala, toilettes toto et autres choses bien (in)utiles
Après un nombre d'heures d'avion qui ferait peur à n'importe quel calculateur d'empreinte carbone, mes yeux sont bien trop rouges d'avoir enchaîné 5 films mais ne se fermeront qu'enfin assise dans le bus ou le train direction chez ma grand-mère. J'y continuerai ma nuit que je n'ai évidemment commencée qu'au début de l'atterrissage.
Jusque-là, il faut rester vigilante pour répondre de la tête toutes les deux minutes à des inconnus qui me saluent sans cesse telle une rockstar, mais surtout, surtout, ne pas se tromper de file entre la queue des passeports étrangers et celle des passeports locaux. De toute façon, il y a quelqu'un tous les deux mètres pour me demander ma nationalité et/ou me dire où je dois aller.
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